Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault présente ce mardi à l’université Jussieu-Pierre et Marie Curie, un plan d’investissements d’avenir sur dix ans. François Hollande avait chargé M. Ayrault de préparer ce plan, le 6 mai, lors d’un séminaire gouvernemental pour lancer l’an II du quinquennat. Il devrait être doté d’une enveloppe « proche de 10 milliards d’euros ». Le chef de l’Etat souhaite un plan articulé autour de « quatre grandes filières: le numérique, la transition énergétique, la santé et les grandes infrastructures de transport ».
Ce plan regroupera ainsi pour partie des chantiers déjà engagés comme sur le très haut-débit ou dans le cadre du Grand-Paris.
Côté financements, le gouvernement privilégierait la quête de ressources via des ventes de participation de l’Etat dans des entreprises et une part d’épargne, plutôt qu’un grand emprunt.
Parmi les mesures envisagées par le gouvernement, le programme de déploiement sur le territoire des compteurs électriques intelligents « Linky » pourrait être accéléré.
Le Premier ministre s’exprimera aussi sur les infrastructures de transport. Il doit annoncer les investissements à réaliser avant 2030, en fonction des arbitrages effectués à partir du rapport de la commission Mobilité 21, remis fin juin.
La priorité doit également être donnée à un certain nombre de grands « noeuds ferroviaires », destinés à désengorger de nombreuses gares, comme les gares de Lyon et Saint-Lazare à Paris, la Part-Dieu à Lyon ou Saint-Charles à Marseille.
Côté financements, le gouvernement privilégierait la quête de ressources via des ventes de participation de l’Etat dans des entreprises et une part d’épargne, plutôt qu’un grand emprunt.
Parmi les mesures envisagées par le gouvernement, le programme de déploiement sur le territoire des compteurs électriques intelligents « Linky » pourrait être accéléré.
Le Premier ministre s’exprimera aussi sur les infrastructures de transport. Il doit annoncer les investissements à réaliser avant 2030, en fonction des arbitrages effectués à partir du rapport de la commission Mobilité 21, remis fin juin.
La priorité doit également être donnée à un certain nombre de grands « noeuds ferroviaires », destinés à désengorger de nombreuses gares, comme les gares de Lyon et Saint-Lazare à Paris, la Part-Dieu à Lyon ou Saint-Charles à Marseille.
( Source AFP)