L’architecture urbaine de demain pourrait prendre une forme très différente de la construction rigide à laquelle nous sommes habitués. C’est en la théorie défendue par le prospectiviste Chris Arkenberg. Selon lui, les frontières entre la biologie et la technologie vont disparaître.
Les villes de demain, pourraient bien s’élaborer à partir de drones, de biologie synthétique et d’imprimantes 3D.
Article à lire sur fastcompagny