« Ces deux pratiques, vélo et covoiturage, pour des déplacements domicile-travail, se caractérisent par des bénéfices collectifs en matière de congestion, pollutions et émissions de GES, et par des bénéfices individuels monétaires. Ils imposent également des contraintes temporelles très précises. Tout cela conduit à des difficultés pour fédérer ces collectifs, pour leur donner une représentation de leurs actions et finalement pour augmenter l’engagement individuel ». lire l’article du site lestransorptsdufutur.